Aujourd’hui il est démontré que l’éolien n’est pas la solution pour « la conquête d’une souveraineté énergétique » L’expérience mondiale montre une inefficacité du système de production d’électricité par l’éolien industriel, et alors que des pays comme le Danemark, l’Espagne, l’Angleterre ainsi que l’Allemagne stoppent cette industrie, nous avons le désavantage d’être l’un des derniers pays à persévérer dans ce modèle. Les gens, et pas seulement dans le PNRHL, sont beaucoup plus sensibles à leur environnement, parce que nous connaissons ce que cela va détruire de par, hélas, les multiples exemples que nous avons sous les yeux, dans notre Parc Naturel Régional du Haut Languedoc.
Quoi donc de plus légitime, pour des citoyens, d’investir leur maison du PNRHL à Saint-Pons pour questionner les élus du Parc et en particulier l’intransigeant Président Vialelle , toujours plus VERDI que jamais ?
Nous aurions pu les questionner quant à leur entêtement sur le développement de l’éolien industriel au sein du PNRHL ( et Ferrières-Poussarou n’est pas le moindre exemple), alors que tant de pays comprennent que l’éolien industriel ce n’est vraiment pas la panacée du développement durable en énergie renouvelable!
Ou aboutira, la forme d’autisme dont semblent atteint le VERDI tarnais et son M.A.C. héraultais (N.D.L.R/lire Mesquida – Arcas – Cros) dans leur non-reconnaissance de l’imposture verte ?
Saint-Pons-de-Thomières :
PNRHL, le comité syndical ne dit pas tout !
le PNRHL n’existe plus juridiquement depuis le 13/07/2011. A cette date devait être approuvée et entérinée la Charte par les communes.
Le feu d’artifice du 13 juillet 2011, de sinistre mémoire pour le PNRHL et pour les chastes oreilles de son président qui s’essouffle à la vitesse MAC2 , fêta la fin de l’enquête publique et l’acceptation de la charte…. par le comité syndical uniquement….
Un décret ministériel a été pris en Décembre 2012, validant le PNRHL…mais ne se référant à aucune loi, cette tentative de passage “en force”, n’ est pas encore ressortie du Conseil Constitutionnel ; et c’est ainsi que, jusqu’à ce jour, dans l’attente de la décision des sages , juridiquement parlant, le PNRHL n’aurait aucune existence légale.
Est ce donc ce que voulait signifier par là, le maire de Rosis, Monsieur Jacques Mendés, lorsqu’il déclara, lors du dernier conseil d’administration du CPIEHL, mardi 11 décembre, :
« la charte du Parc a été retoquée, enfin.... »
avant de se lancer dans une interprétation gênée, digne du mîme Marceau , par ses mimiques et son mutisme ?
Je lui ai demandé » si retoquée était le mot approprié ! » J’aurai du ajouter » Jacques, quand on ne sait pas le dire, on demande »
(mais j’étais trop ému par cet homme qui s’inquiétait de la difficulté que j’allais éprouver pour écrire sur ce C.A. calme et cordial pour lui faire un tel affront railleur en sous-entendant qu’il serait, dans mon prochain billet, le personnage principal du remake : » ce n’est pas parce qu’on a rien à dire, qu’il faut fermer sa gueule »!
C’est donc , ce que nous aurions aussi voulu demander lors de notre « intrusion » de la Maison du PNRHL ce mercredi 11 décembre 2013 à Saint-Pons de Thomières à l’intransigeant Président Vialelle.
N’ayant obtenu, ce jour là, que fort mépris et fin de non recevoir de la part de ces élus,
il reste la solution de la lettre ouverte !
Quelques évidences politiques au Cœur du PNRHL !
Pourquoi donc tant de réserve, relevant une certaine gène dés que l’on aborde l’éolien industriel chez ces élus qui savent pertinemment que cela reviendra sans doute avec les élections.
Des rappels sont toutefois nécessaires avant leurs déroulements:
- en 2014 prendra fin la fonction présidentielle du PNRHL exercée par le tarnais Vialelle.
- en 2014 par usage, cette fonction présidentielle du PNRHL reviendra à un maire héraultais.
- en 2014 se dérouleront les élections municipales.
- en 2014 se fera la validation du nouveau découpage cantonal pour les prochaines élections territoriales de 2015.
Sans faire de politique fiction régionale, et tout en rappelant que les cantons de Saint-Pons (Mesquida), d’Olargues (Arcas) et la Salvetat (Cros) ne feront plus qu’un avec Capestang et Olonzac, Mesquida visant la présidence du conseil général serait automatiquement le candidat P.S. du nouveau canton.
Pour bons et loyaux services , le dynamiteur du barrage de l’Ayrette, Arcas, perdant son titre de conseiller général, aurait la récompense suprême de devenir le prochain président du Parc s’il avait la bonne idée de se représenter à la mairie d’Olargues, éjectant de fait son ami et adjoint Pierre Teillaud de l’investiture.
Dans ce jeu de chaise musicale, qu’advient-il de Cros ?
« Rien, on l’oublie ! » Il se murmurerait que Mesquida, ne pardonnait pas le refus de la CCMHL de fusionner avec sa communauté des communes, rendant Cros responsable, l’ évêque Saint-Ponais l’enverrai donc a ses chères oubliettes communautaires si tant est qu’il soit capable d’en reprendre les clefs, louant la municipalité Salvetoise actuelle, ancienne résidence d’été institutionnelle, et se félicitant des relations saines et apaisées qu’ils entretenaient.
Le grand mensonge de l’éolien =
mise en péril de la cohérence rurale.

« la France va dans le mur » dans Marianne du 30 Novembre 2013
par Jean-Louis Butré président de la FED
l’objectif de réduire les gaz à effet de serre, surtout le CO2, responsables du réchauffement climatique, que prévoyaient les décisions de Kyoto, est obsolète; on aurait dû assister à une baisse de 8 % des émissions entre 2008 et 2012. Or ces rejets n’ont jamais cessé de croître. Le constat est inquiétant : certaines des solutions préconisées pour produire de l’énergie « propre », comme les centrales éoliennes, ont l’effet inverse.
tandis que les contribuables paient pour sa réduction, les industriels s’enrichissent, et le pourcentage de CO2 atmosphérique augmente comme jamais.
« Nous ne disons pas non aux éoliennes industrielles, parce qu’on aime être contre tout. Nous disons non à ce qui nous détruit, non à ce qui détruit ce qui nous entoure et nous fait vivre, non à ce qui détruit ce qui nous lie encore un peu les uns les autres, non à ce qui se décide loin de nous et qui ne nous apporte rien, non à ces quelques kilowatt-heures ridicules qui servent à repeindre en vert les plus gros pollueurs. La question n’est pas tant de savoir pourquoi nous sommes contre, mais plutôt pour quelle mystérieuse raison on pourrait être contre. » Ainsi parlaient le 15 août dernier au Mas d’ Azil les opposants rassemblés à l’appel de En avant Camarade ! pour montrer à EDF-EN que son projet ne passera pas ni à Camarade, ni ailleurs. »
- Pour ou contre les éoliennes en Aveyron par Le collectif des associations de défense de l’environnement de l’ Aveyron pour qui à l’instar d’Albert Camus « Savoir Vivre c’est s’engager »
« Nous, citoyens, respectueux et attentifs à ce qui se passe dans la cité et dans le pays, observons une confusion gigantesque, entretenue au plus haut niveau, et relayée par nos élus locaux, en ce qui concerne le développement des énergies renouvelables, et plus particulièrement l’implantation des éoliennes industrielles. »
comme eux , nous exigeons pour le PNRHL
« un référendum » au sein du PNRHL !
comme le stipule le communiqué de presse envoyé à la suite de l’occupation de la maison du Parc par l’association ATTAC Jaur. Somail , exigeons un référendum auprès des maires des communes sur le développement des éoliennes industrielles !